(nouveau roman « Il n’est pas de plus grand Amour » par Diane DUANER)
Parmi les personnages exceptionnels qui ont jalonné l’histoire mouvementée de la Pologne, figure un moine Franciscain qui, par son dévouement aux autres jusqu’à l’héroïcité, a mérité d’être béatifié, avant d’être canonisé par le pape Jean-Paul II.
Rappelons les circonstances de sa mort héroïque : Au camp de concentration d’Auschwitz, en 1941, le prêtre Maximilien Kolbe, qui était détenu par les nazis allemands pour faits de résistance, a voulu prendre la place d’un condamné à mort. En effet, en représailles à une évasion de détenu, les Allemands avaient décidé de désigner au hasard dix détenus pour les condamner à mourir de faim et de déshydratation. Maximilien ne faisait pas partie de ces désignés ; cependant en entendant l’un d’eux s’affoler sur le sort de ses enfants, il a demandé aussitôt à prendre la place de ce père de famille. Il fut donc incarcéré au bunker de la faim, avec neuf autres détenus. Au bout de deux semaines, il ne restait plus qu’un seul condamné encore vivant : Maximilien, qui continuait de psalmodier dans la sérénité. Les S.S. l’achevèrent par une injection de phénol. Son cadavre fut brûlé dans l’un des fours crématoires d’Auschwitz le 15 août 1941, jour de l’Assomption, étrange coïncidence pour cet homme qui toute sa vie se consacra à la Vierge Marie et fut d’ailleurs surnommé « le Chevalier de l’Immaculée ».
Si beaucoup de nos contemporains, notamment de Polonais, connaissent les circonstances de cette mort, peu de gens savent quelle fut sa vie. Une vie exceptionnellement intense, dynamique, toujours consacrée aux autres (malgré sa santé très précaire depuis l’enfance).
Etant entré très jeune dans l’ordre des Franciscains, il fonda un monastère à Niepokalanow près de Varsovie, où il se dévouait aux autres et où il créa une imprimerie remarquable, diffusant une revue prônant l’amour et la solidarité entre tous les êtres humains. Missionnaire, il alla fonder également un monastère au Japon avant de revenir en Pologne.
Il n’est pas étonnant qu’il fut, dès l’occupation de la Pologne, hautement suspect pour les nazis allemands. Son dévouement pour les autres s’élève face à la haine distillée par Hitler et Staline. Et c’est ce qui transparait tout au long de ce roman réaliste : l’éternel combat entre le bien et le mal.
Les lecteurs trouveront sans doute beaucoup d’informations sur l’enfer concentrationnaire, l’évolution de la guerre, la perversité de Staline et, face à eux, Maximilien, ses amis…. ainsi que ceux qui ont prolongé sa belle histoire, tels Jean-Paul II et le père Popieluszko.
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Il est en plus, mis sur distribution Hachette, qui permet dorénavant d’être acheté dans toute librairie de France. Vous pouvez donc vous le procurer dans votre FNAC.
Son titre « Il n’est pas de plus grand amour – Il s’appelait Maximilien », par Diane DUANER.
Il vient d’être gratifié du GRAND PRIX DU CONSEIL REGIONAL DU CENTRE, année 2021.
Hermine.